LA CHRYSOPRASE FIN

Témoignages de patients

 1. Polyarthrite 

J’ai 63 ans et, pendant quinze ans, j’ai souffert d’une polyarthrite déclarée incurable par la médecine officielle. On m’a soigné à grand renfort d’antalgiques, de cortisone et de méthotrexate (MTX), ce qui a entraîné une grande perte de ma qualité de vie. Dieu merci, j’ai finalement découvert la médecine hildegardienne : la saignée, la scarification, la cure de coings, la cure à l’or, le baume à l’absinthe, l’élixir de menthe crépue et la tranche de chrysoprase à appliquer sur les articulations douloureuses. Toute cela a contribué non seulement à me libérer peu à peu de tous les traitements allopathiques, mais aussi et surtout à si bien me soigner que je n’ai pour ainsi dire plus de douleurs depuis cinq ans déjà.

 2.Arthrite du genou

J’avais tellement mal au genou que je ne pouvais presque plus marcher. A l’hôpital, les médecins ont procédé à une arthroscopie qui n’a fait qu’aggraver les douleurs, si bien que je ne pouvais plus me déplacer qu’avec une canne. Ils m’ont conseillé une opération, mais j’ai préféré me soigner d’abord selon la médecine de sainte Hildegarde : j’ai mis une plaque de chrysoprase de chaque côté du genou droit, et maintenu le tout à l’aide d’une genouillère. Mes douleurs ont disparu en quelques minutes et ne se sont plus jamais manifestées ! Trois semaines plus tard, je pouvais même remarcher sans canne. Depuis, je masse régulièrement mon genou avec du baume à l’absinthe, je fais beaucoup de cuisine au grand épeautre (grains, pâtes, semoule, flocons, pain…) et, une fois par semaine, je mange du bouillon de pied de veau aux légumes. L’intervention chirurgicale est évidemment devenue superflue.

Dr Wighard STREHLOW, La lithothérapie chrétienne de sainte Hildegarde de Bingen, usage et témoignages, Ed. Résiac, Montsûrs, 2014, p.82-83